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Paulette, la Reine des paupiettes

20 juin 2014

Choix de mon lieu de stage

 

Début du stage, j'aurai aimé déserter, j'avais très peur et peu de confiance en moi ...

 

Pourquoi cette institution ?

Je voulais, pour cette première année, travailler avec des personnes handicapées.
J’ai entendu une interview du directeur du Tandem à la radio et j’ai donc pris notes des coordonnées.
Je suis allée sur internet afin de vérifier la philosophie, les buts et la population de l’institution.
Même si, au départ, j’ai eu un peu peur du fait qu’il y avait des adultes, j’ai quand même décidé de poser ma candidature.

 

Mes attentes par rapport à l'institution

En voyant la philosophie de l’institution, je me suis dit que mon projet de stage correspondait. Je me suis donc lancée et je n'ai pas été déçue.
Je m’attendais à apprendre beaucoup, que ce soit au niveau de la philosophie que de la réflexion vis-à-vis des activités et des projets mis en place dans l’institution.

 

Mes attentes par rapport à mon rôle

Je pensais que mon rôle n’allait être que de l’observation. Depuis le début du stage, je voulais faire mes activités mais j’avais peur de rester seule.
En voyant ce que les autres éducateurs faisaient, j’ai vite eu envie de faire mes activités.
Je ne pensais pas que je prendrais en charge un groupe mais, pour pouvoir les mettre en place, j’ai demandé à pouvoir être responsable de bénéficiaires. J’ai pu ainsi réaliser des activités.

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20 juin 2014

Conclusion de mon stage

 

Source: Externe

 

 

Mon ressentis du stage

 

Ce premier stage a confirmé la direction dans laquelle je veux continuer.
Avoir pu côtoyer une équipe d’éducateurs travaillant dans le milieu du handicap m’a permis de comprendre le rôle de l’éducateur et de découvrir que ce métier me plaît, me correspond et que je peux correspondre à ce métier, dans ce milieu-là, en tout cas.
Je suis plus que satisfaite et j’espère que les autres stages que je serai amenée à effectuer dans les deux prochaines années seront aussi enrichissants que celui que je viens de terminer.

 

 

 

 

20 juin 2014

Mon projet de stage

 

Chanson de "P'tit Lou", autiste

 

Mon projet de stage

1) Atelier découverte de la musique

Avant de commencer mon projet, j’ai eu l’occasion de rester « en arrière-plan », afin d’observer et, j’ai remarqué que les bénéficiaires mettaient beaucoup de temps avant de retenir quelque chose, que les exercices qu’ils faisaient tous les jours depuis longtemps n’étaient, pour la plupart, pas encore assimilés.

J’ai donc choisi de modifier mon projet en un projet de découverte de la musique et, plus particulièrement des instruments qui sont fabriqués en lutherie. Le but étant de découvrir la musique à travers des activités qui se font à l’extérieur du Tandem, offrant ainsi une ouverture sur l’extérieur et les notions de bases de la musique.
Mon projet a donc été modifié et mon public cible aussi.

2) Individus concernés
Les personnes concernées par mon projet sont des personnes possédant une déficience mentale légère et qui sont les plus autonomes.
Par autonome, je veux dire ceux qui font partie du projet SAVA (projet d’autonomie où les bénéficiaires se déplacent seuls et font les courses eux-mêmes).

3) Objectifs
L’objectif premier est de s’ouvrir sur l’extérieur, en visitant des lieux en rapport avec la musique. Les autres objectifs sont :
- développer la créativité ;
- créer une dynamique de groupe ;
- développer une certaine psychomotricité ;
- développer l’écoute active ;
- notions de base de musique




Les activités réalisées

1) Visite d’une lutherie

Pour la première activité, j’ai décidé de visiter une lutherie à Chièvres.
Après la visite, ils ont eu droit à un petit concert de guitare électrique que Thierry leur a réservé.

Les objectifs
- Eveil musical ;
- Savoir comment est fabriqué un instrument ;
- Savoir quels instruments sont fabriqués en lutherie.



2) Découverte des sons des instruments fabriqués en lutherie
J’ai mis en place une activité qui est, en réalité, un feed-back de la visite à la lutherie.
Malheureusement, tous les bénéficiaires qui ont fait la visite n’étaient pas présents (il n’y en avait que deux). D’autres se sont joints à mon activité.
Cette dernière était en plusieurs parties :
- un rappel de ce que l’on a vu à la lutherie ;
- un quizz musical avec un seul son d’instrument ;
- un quizz musical avec plusieurs sons d’instruments.
Pour leur faciliter les choses, j’ai imprimé les photos de tous les instruments et, lorsqu’ils reconnaissaient l’instrument, ils pouvaient, s’ils avaient oublié le nom, montrer la photo.

Objectifs
- Eveil musical ;
- (Re) découverte des instruments fabriqués en lutherie ;
- Reconnaissance des sons;



3) Quizz musical
Ma troisième activité était un quizz musical. Les bénéficiaires ont donc entendu des chansons et devaient reconnaître ces dernières.
Evidemment, beaucoup de chansons étaient celles qu’ils connaissaient mais, j’ai glissé d’autres styles de musique afin d’ouvrir leur esprit sur le fait qu’il n’y a pas qu’un seul style.

Objectifs :
- Eveil musical ;
- Découverte de nouveaux styles de musique ;
- Découverte de nouveaux artistes.



4) Visite des Studios d’enregistrements de la RTBF
Afin de leur faire découvrir de quoi est composé un studio radio, comment on enregistre une émission, ce qu’il s’y passe réellement, j’ai choisi de visiter les studios d’une radio, en l’occurrence, les studios de la RTBF à Mons.
Pendant la visite, ils ont pu parler dans un micro et un technicien les a enregistrés. Après la visite, ils ont eu droit à un petit concert de Jean, un membre du personnel de Vivacité. Nous y avons été en bus avec les plus autonomes.
Objectifs :
- Découverte d’un studio d’enregistrement ;
- Découverte du fonctionnement et du personnel;
- Découverte du métier d’animateur radio.



5) Feed-Back de la visite des studios de la RTBF
Pour cette activité feed-back de la visite à la RTBF, je leur ai montré les photos et l’enregistrement fait par chacun. Nous avons simplement discuté de la façon dont s’est  passée la journée et ce qu’ils ont pensé de cette visite.

Objectifs :
- Exprimer ses émotions, son ressenti ;
- Exercice de mémoire ;
- Se situer dans l’espace et dans le temps ;




6) Découverte d’un instrument : la guitare
Pour cette dernière activité, qui clôture mon projet, j’ai apporté 6 guitares.
Avant de commencer, nous nous sommes rappelés  toutes les activités que nous avons faites.
Ensuite, chaque bénéficiaire avait une guitare, sur laquelle j’avais mis des petits points de couleurs qui situaient l’endroit où ils devaient mettre leurs doigts. 
Ensuite, je leur ai expliqué comment fonctionnait une guitare, et, dans une grande cacophonie, ils ont appris à jouer « Au clair de la lune ».
Pour finir sur une belle note, Jordan (stagiaire de première) et moi, leur avons joué quelques morceaux en duos.

Objectifs :
- Découverte de la guitare ;
- Eveil à la musique ;
- Découverte du système de la tablature ;
- Découverte d’une musique à deux guitares.

20 juin 2014

Le rôle de l'éducateur



* Non, non et non, je ne pense pas que c'est ça * GAME OVER*

 



Être éducateur, c'est quoi exactement ?
Dans l’institution, l’éducateur a un rôle de valorisation du bénéficiaire, c’est-à-dire que le bénéficiaire va être félicité pour ce qu’il fait afin qu’il acquiert une confiance en lui-même. Il lui permet de s’exprimer dans les activités et de faire des choix pour le pousser à s’ouvrir à de nouvelles choses, éveiller sa curiosité, et non se renfermer sur ce qu’il connaît.
Avec ça, il pratique une écoute active et positive et est le pilier sur lequel les bénéficiaires peuvent s’appuyer.

L’éducateur pose aussi un cadre de vie afin que les bénéficiaires aient des repères et se sentent en sécurité. Ce dernier se situe dans ce cadre, qui est une référence pour ceux-ci.
Dès qu’il y a un nouveau bénéficiaire, ou, si un quelconque problème se présente, il adopte une position de non-jugement et accepte, qu’importe la situation, la personne en tant que personne adulte et responsable.

Il permet aux bénéficiaires  d’être considérés comme des adultes, responsables de leurs actes et non comme des enfants ignorants les conséquences de ce qu’ils font.
De cette manière, les bénéficiaires sont responsabilisés et, pour quelques-uns, autonomes.

L’éducateur n’est pas considéré comme quelqu’un de neutre, mais quelqu’un qui peut modifier ce qui se passe dans le cadre de vie personnel du bénéficiaire.
L’éducateur a donc plusieurs rôles qui le rend important, et, c’est pour cela qu’il doit savoir mettre des limites entre vie privée/vie personnelle, afin qu’il reste une aide, un pilier dans les relations avec les bénéficiaires, et non un ami.


20 juin 2014

Wat's that ?

 

 


Qu'est-ce que le handicap ?

Le handicap est tout simplement une personne qui éprouve des difficultés sociales, physiques, relationnelles, mentales, ...
Je pense que tout peut alors être considéré comme handicapant.
Les injustices liées aux handicaps sont répandues et plus qu'on ne le croit !





Petite fille de 3ans

Les femmes

Reject des fumeurs

 

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20 juin 2014

La musique chez les sourds

 

 

Source: Externe




Tout d'abord : qu'est-ce que la musique ?

La musique est un art d'ordonner ou désordonner des sons et des silences au cours du temps.
Le son est une vibration mécanique d'un fluide qui se propage sous forme d'ondes.
Ces ondes sont perçues généralement par l'ouïe.
Les personnes sourdent n'entendent pas mais ressentent ces vibrations : elles peuvent donc entre la musique.


Jeune sourd à Dour Festival : Pourquoi pas ?

 

Comment ressentir la musique ?

Comme je l'ai déjà dit plus haut, ce sont les vibrations que ces personnes ressentent.
Ils existent des objets/implants à glisser dans l'oreille afin de ressentir de manière plus accrues les vibrations.

Implants pour ressentir la musique

 

Peuvent-ils jouer de la musique ?

Il est vrai que jouer de la musique ne serait pas tâche aisée mais, ne connaissons-nous pas tous quelqu'un qui est sourd et jouait de la musique ?

 

 

Tout est possible si on y met de la bonne volonté !

Professeur musicien

28 mai 2014

Peut-on rire de tout mais surtout du handicap ?

 

 Quelques vidéos humoristiques qui traitent du sujet :

 

 

 

 

 

 Intervieuw de Philip Geluck :

[...]

Peut-on rire de Dieu ?  
Oui, car il l’a bien cherché.  

 

Peut-on rire des Noirs ?  
Oui, mais pas de leur couleur.  

 

Puis-je rire des handicapés physiques et mentaux ?
S’ils font des grimaces, il est souvent impossible de se retenir.  

 

Puis-je rire de l’homosexualité ?  
Oui, car il faut avouer que des bonhommes qui font des petites mines et des femmes qui roulent des mécaniques et des cigarettes, c’est quand même très rigolo.

 

Puis-je rire des musulmans ?

A tes risques et périls.

[...]



Peut-on rire de tout ?

          D'une manière générale, peut-on rire d'une personne handicapée, que ce soit avec elle ou dans son dos ? Lorsque nous sommes avec nos collègues ou face à eux ? Est-ce contre la morale et éthique de raconter ce qu'une personne a dit ou fait alors qu'elle n'est même pas consciente de sa bétise ? Je pense que nous pouvons, effectivement rigoler de tout et même d'eux-même lorsque nous sommes face à eux, mais surtout, si nous savons rire de nous avant toute chose.
C'est une manière aussi de créer des liens et des relations vivantes.

 

 

"On rit mal des autres quand on ne sait pas d'abord rire de soi"

                                                                                                            Paul Léautaud     

 

   

28 mai 2014

Le regard de la société sur la personne handicapée

Source: Externe

 

 

          La société tend vers l'intégration des personnes handicapées : écoles spécialisées pour les personnes handicapées, ASBL, ETA, ... Mais quant est-il du regard que nous leur portons ? Ces personnes, malgré le fait que la société tente de les intégrer, le sont-ils vraiment ?





Quelques articles de journeaux :
Les gares accessibles aux personnes à mobilité réduite

- Les personnes handicapées qualifiées de "profiteurs du système"

- La journée Handicap

- Amandine n'a plus de domicile  

 

 

La personne handicapée ; vraiment intérgrée ?

           Je pense que la personne n'est pas intérgrée; quand on regarde les injustices dans le milieu scolaire et professionnel : par manque de place, toutes les personnes handicapées ne sont pas scolarisée/ La loi oblige les entreprises à egager une personne handicapée qui souhaite travailler chez eux et, si l'entreprise ne le fait pas, elle doit verser des fonds pour aider les personnes handicapées.
Donc, les entreprises préfèrent payer des contributions que de laisser des personnes handicapées travailler chez eux.


          Il y a aussi toutes les discriminations que les personnes subissent, le regard des gens sur eux, les insultes des jeunes envers eux, comme par exemple, cette situation que j'ai vécu en stage :

S., âgée de 32ans et déficiente mentale modérée et psychotique, est rentrée un jour en criant et très énervée. En parlant avec elle, une fois cette dernière calmée, elle m'explique qu'en arrivant à l'institution, lorsqu'elle était encore dans le bus, des jeunes adolescents l'ont insultées de "sale handicapée". Elle était choquée et à donc réagit de manière agressive avec eux, ce qui les a encouragés à continuer et même à la filmer avec leur téléphone. Les gens qui étaient autour n'ont pas réagi.


Je pense que cette situation montre bien que le regard que porte les adolescents sur les personnes dites "différentes". Même si ce ne sont que des adolescents qui sont en crise, le respect de la personne a largement été dépassé.
De manière plus générale, tout le monde se retourne sur une personne handicapée, la juge, la critique, ...
Je pense que la personne handicapée n'est pas intégrée socialement et que la plupart des gens sont, de manièrre générale et grossière, comme ces ados cités plus haut.




* La ligne des droits des personnes handicapées


28 mai 2014

La vie sexuelle chez les personnes handicapées mentales adultes

 
Film sur le sujet : "Gabrielle"

Gabrielle et Martin tombent fous amoureux l'un de l'autre. Mais leur entourage ne leur permet pas de vivre cet amour comme ils l'entendent car Gabrielle et Martin ne sont pas tout à fait comme les autres. Déterminés, ils devront affronter les préjugés pour espérer vivre une histoire d'amour qui n’a rien d’ordinaire.

 

* Pas de bras, pas de chocolat

 


Une vie sexuelle pour des personnes handicapées ?


          La vie sexuelle et affective n'est souvent pas tenue en compte par l'entouage de la personne adulte. En effet, elles sont considérées comme des enfants et non comme des adultes responsables et conscients de leurs actes, ce qui les frustre.et crée un complexe et/ou un manque.
Les personnes handicapées ont-elles droit à vivre une sexualité et une relation de couple ?

          Comme nous le savons*, la personne handicapée est une personne dont l'intelligence n'atteint pas sa majorité ; ce n'est pas pour cela que ces personnes ne peuvent pas avoir les mêmes besoins, les mêmes envies que des personnes ne possédant pas de handicap.
En effet, si l'on regarde la pyramide de Maslow, les besoins physiologiques sont la base de toute personne afin de vivre heureux.
Or, les besoins physiologiques sont les besoins de soif, de faim, de respiration, de sommeil et de sexualité.
De plus, souvent considérées comme des enfants, ces personnes n'ont pas nécessairement la chance d'avoir un entourage qui leur parle de sexualité ou de leur vie de couple, ce qui crée chez eux une frustration menant à un complexe et/ou un manque.
Finalement, notre société nous inculque que le mariage, la vie de famille, ... est le bonheur total. Lorsque ces personnes voient ça, elles ont aussi envie de vivre une histoire d'amour et beaucoup de choses les en empêche ; leur sexualité et vie affective n'est pas une question necessairement prise en compte. Lorsque je parle avec certains amis, ils me disent que "ces personnes n'ont pas le droit de faire l'amour ou de vivre une relation parce que c'est dégoutant " alors que, c'est quelque chose de fondamentalement important pour eux et pour leur bien-être, qui sommes-nous pour leur dire que ce qu'ils font n'est pas bien alors que nous le faisons aussi ? La seule différence étant un handicap.

          Au contraire, il est vrai que si nous laissons une vie sexuelle, il est possible d'un accident, comme une fille qui tombe enceinte et accouche. Si une personne déficiente a un enfant, il sera directement pris un charge et, cette personne peut être considérée par la société comme n'étant pas capable d'assumer, elle ne verra pas son enfant grandir. Ne tenons-nous pas des propos contracdictoires lorsqu'on leur laisse combler leurs besoins mais que nous ne les laissons pas élever leur enfant ? Comprendraient-ils même le fait que, d'une manière éthique, son enfant aura la même vie que lui et sera certainement aussi malheureux que lui ? Je ne pense pas.
De plus, n'y a-t-il pas de risques d'abus ? Une personne qui est fragile mentalement et possède une personnalité de suiveur, ne se laisserait-il pas influencer par d'autres personnes handicapées pour avoir une relation ?

          Je pense que ces personnes ont droit à une vie sexuelle et affective, mais, comme pour les personnes sans handicap, il doit y avoir de la prévention et une vigilence plus élévée pour des personnes plus fragiles. L'idéal est, puisque tout est complexe dans la vie de famille, d'en parler avec eux autour d'une table afin qu'ils puissent extérioriser et comprendre aussi pourquoi certaines choses sont possibles et d'autres pas; ce qui permettrait qu'il ait moins de complexe ou de frustration et surtout, un bien-être lié à ce besoin comblé.



*Note : Mais qu'est-ce que le handicap mental ?
La déficience mentale est définie de différentes manières selon les différentes organisations : 
Le C.I.H. (Classification Internationale des Handicaps) se base sur le QI de la personne, ainsi la déficience peut être mesurée, de légère à sévère.
Le Guide du barème se base sur la différence entre le « handicap physique », « la maladie mentale » et le « handicap mental ».
Les associations qui s’occupent de ce type de handicap définissent, généralement, la personne qui présente ce handicap comme une personne à part entière et singulière. 
L’Organisation Mondiale de la Santé définit la personne handicapée mentale comme une personne qui présente une incapacité à rencontrer les normes d’indépendance personnelle et de responsabilisation sociale attendue chez un individu à un âge donné et dans un groupe culturel spécifique.

La personne ayant une déficience mentale est donc quelqu’un dont l’intelligence n’atteint pas sa maturité et qui, socialement, ne peut assumer la responsabilité de ses actes, que ce soit dans un groupe ou dans la société.

La déficience mentale se définit de trois manières : légère, modérée ou sévère.

On parle de déficience mentale légère lorsque le QI est inférieur à 70, les personnes déficientes mentales modérées ont un QI inférieur à 55 et les déficients mentaux sévères à 44.

2 mai 2014

Bienvenue sur mon blog


 

Bonjour,

Je fais un bachelier en éducation spécialisée en accompagnement psycho-éducatif.
Etant en premiére année, je  dois faire un stage de 21jours, et, l'ayant presque fini,
je fais un journalier qui m'aide à la reflexion et l'apprentissage du métier.

Je crée ce blog dans le cadre du cours d'éducation aux médias et aux TICs.

Le projet est de créer des articles qui ouvrent le débat et ce, pendant 4semaines.
Je compte y mettre les activités que j'ai effectuées, les situations que j'ai vécues et qui
m'ont marquées, le suivis de mes jours de stage, en
accompagnant
mes ressentis, questionnements, ... sur le métier.
Il y aura aussi quelques notes, quelques réflexions et, j'espère,
avec l'aide d'éventuelles réponses, m'aideront à grandir et à mieux comprendre
le métier d'éducateur.




Bonne lecture,
Pauline

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